On est pas ici pour parler cinéma en fait. (non ce serait plutôt là dessus pour le coup) mais une petite pause musicale/cinéphile peut donner quelque chose de bien. Certains d'entre vous ont dû voir le bon 28 semaines plus tard réalisé par Juan Carlos Fresnadillo - qui découle d'un film de Danny Boyle 28 Jours plus tard - mettant en scène Robert Carlyle (Trainspotting, Full Monty...) entre autres dans une atmosphère post-apocalyptique londonienne qui a su se ressaisir avant de retomber dans une infection zombie en quarantaine assez fulgurante.. l'acteur en question joue le parfait anti-héros que le film d'infectés n'ait jamais connu. Cette séquence après une courte introduction vous laisse tout bonnement sur le cul, steady-cam et caméras embarquées suivant la fuite lâche de notre écossais favori dans la campagne britannique poursuivi par des tarés de zombies.
Le tout est très beau visuellement parlant, mais à la fois choquant par son imprévisibilité, sa crueauté et c'est surtout poignant. Pour soutenir une scène aussi forte devait s'imposer, c'est pourquoi le compositeur John Murphy a enregistré ce titre post-rock pour une ambiance post-apocalypse qui se caractérise par sa progression fascinante à commencer par deux notes de pianos constante, vient la basse, la batterie, la guitare acoustique puis l'électrique qui fait monter le tout en crescendo pour nous mettre la pétée. Ce n'est peut-être pas un chef-d'oeuvre des deux points de vue, mais sur ce cas, musique et cinéma font extrêmement bon ménage et cette scène restera pour moi l'une des meilleures de films d'horreurs que j'aie vu. Et puis vous pouvez d'une part admirer la séquence, puis vous pencher sur le morceau en question qui mérite une petite écoute, ou vous pouvez regarder le lamasticot. Classe.
John Murphy - In the House/In a Heartbeat
Les vacances de Mars essaieront de rimer avec un petit retour sur le bon vieux Prog comme on l'aime (Camel, Renaissance etc..) avec une focalisation approfondie sur les Floyd pour bien vous faire chier comme d'hab (mais c'est affectif). Et bien sûr continuer dans les extrêmes passant du subtil métal progressif ou brutal (Tool, Ancestors, Meshuggah etc..) ou carrêment toucher au Grincore par la future chronique partagée de leur Reek of Putrefaction et puis évidemment effleurer certains groupes divers et variés, enfin ça c'est à venir. Et puis bonne nuit aussi.
Le tout est très beau visuellement parlant, mais à la fois choquant par son imprévisibilité, sa crueauté et c'est surtout poignant. Pour soutenir une scène aussi forte devait s'imposer, c'est pourquoi le compositeur John Murphy a enregistré ce titre post-rock pour une ambiance post-apocalypse qui se caractérise par sa progression fascinante à commencer par deux notes de pianos constante, vient la basse, la batterie, la guitare acoustique puis l'électrique qui fait monter le tout en crescendo pour nous mettre la pétée. Ce n'est peut-être pas un chef-d'oeuvre des deux points de vue, mais sur ce cas, musique et cinéma font extrêmement bon ménage et cette scène restera pour moi l'une des meilleures de films d'horreurs que j'aie vu. Et puis vous pouvez d'une part admirer la séquence, puis vous pencher sur le morceau en question qui mérite une petite écoute, ou vous pouvez regarder le lamasticot. Classe.
John Murphy - In the House/In a Heartbeat
Les vacances de Mars essaieront de rimer avec un petit retour sur le bon vieux Prog comme on l'aime (Camel, Renaissance etc..) avec une focalisation approfondie sur les Floyd pour bien vous faire chier comme d'hab (mais c'est affectif). Et bien sûr continuer dans les extrêmes passant du subtil métal progressif ou brutal (Tool, Ancestors, Meshuggah etc..) ou carrêment toucher au Grincore par la future chronique partagée de leur Reek of Putrefaction et puis évidemment effleurer certains groupes divers et variés, enfin ça c'est à venir. Et puis bonne nuit aussi.