10000Visions

10, 000 Chroniques de Disques, Lives & autres.

Jeudi 11 novembre 2010 à 13:35

http://10000visions.cowblog.fr/images/Lives/EluveitieKorpiklaaniAffiche.jpgEluveitie + Korpiklaani
Mercredi 27 Octobre 2010
L'Olympic (Nantes, France)
Durée : 4 heures


Membres Eluveitie : Chrigel Glanzmann (Chant, Tins...), Kay Brem (basse, choeurs),
Siméon Koch et Ivo Henzi (guitares, chœurs), Päde Kistler (flûtes, tins, Cornemuse), Anna Murphy (Vielle à Roue, Chant), Merlin Sutter (batterie), Meri Tadic (Violon Irlandais, Chant)



Korpiklaani
:
Jonne Järvelä (Chant, Guitare), Jaakko Hittavainen Lemmetty (Flûtes, Violon, Jouhikko), Matti Matson Johansson (batterie), Juho JuhoKusti Kauppinen (Accordéon), Kalle Cane Savijärvi (Guitare), Jarkko Aaltonen (Basse).



http://10000visions.cowblog.fr/images/Lives/Korpiklaani.jpgKorpiklaani était un groupe encore inconnu à mes oreilles lorsque j’ai acheté mes places mi-septembre. Au départ, c’était surtout Eluveitie que je voulais voir, pour les avoir manqué une fois à Nantes et une fois à Clisson au HF. Au final je me suis rendu compte que ce groupe de Folk-Metal Finlandais est presque mieux le que groupe de  Folk-Metal Suisse.

 Donc nous rentrons dans la salle, des relents de leurs tubes dans la tête, la scène est ornée  de bois de cerfs, d’ossements de taureaux et autres. La soirée s’avérait forcément gigantesque de toutes façons. Malgré les 30/40 minutes de retard habituelles de l’Olympic (dernière saison d’ailleurs, bouh ouh ouh : après ils déménagent) soutenues par du Folk (et non métal) celtique. Korpiklaani avance sur la scène, le public est fou, manquait plus que Jonne Järvelä dise Vodka pour que la salle pète. Et évidemment, le groupe démarre le concert avec le tube de leur dernier album Karkelo (2009), Vodka ! Les pogos pètent de partout, étant au troisième rang avec mon compère, on a déjà commencé à prendre cher. Justement ce concert de Korpi sera extrêmement marqué par les pogos, plus ou moins présents selon la tonalité des chansons. En plus de faire une set-list idéale, les 6 Finlandais mettent l’ambiance dans la salle comme n’importe qui et leur musique – au-delà d’être la plus festive qui soit – riche musicalement avec des musiciens très bons et insolites, notamment le violonniste Jaako Lemmety, classe, modeste et posé mais aussi l’accordéoniste Juho Kauppinen situé à l’extrême opposé de ma place. Plusieurs moments Rock ‘n’Roll sympathiques dans cette soirée comme dirait ce cher phillipe, comme un moment où Jonne porta comme une princesse une groupie montée sur scène et qu’il relançera dans le public en emmèlant son cable de micro dans ses jambes ; Un jeune avec T-Shirt du Wacken qui monte sur scène, ce même membre l’emmène devant le micro pour qu’il chantonne avec lui les « Laïlaïlaïlaï.. » du morceau Juodaan Viinaa. Et ENCORE le chanteur, fumant une cigarette, a nargué le type qui était devant lui à faire semblant de la lui donner. Et enfin, nous avons pu admirer la pureté de bassiste imposant Jarko Aalltonen et la chevelure du guitariste Kalle Savijärvi.

Leur show et l’ambiance étaient époustouflants - Jonne parle Finlandais et récite des prières de sa culture que personne ne comprend – en passant par des titres excellents comme leur Hunting Song, l’énormissime Huppiaan Aarre (avec son rythme saccadé et ses touches bien Hard qui ont fait remuer la fosse). Pour enfin clotûrer leur show avec moults remerciements, sur Beer Beer le classique de l’album Voice of Wilderness (2005) et qui comme la tradition live le veut, ils aspergent le public de leur bière fraîchement servie par les techniciens sur scène après les balances. Rien que ce show valait 3 les 18 € et quelques centimes du ticket. Et ça vient de commencer.

Korpiklaani - Vodka



Set-list de Korpiklaani
1. Vodka
2. Journey Man
3. Korpiklaani
4. Cottages and Saunas
5. Kipumylly
6. Huppiaan Aare
7. Pellonpekko
8. Viima
9. Juodaan Viina (Hector Cover)
10. Paljon on Koskessa Kiviä
11. Tuli Kokko
12. Crows Bring the Spring
13. Hunting Song
14. Pine Woods
15. Wooden Pints
16. Happy Little Boozer
17. Beer Beer



http://2.bp.blogspot.com/_C3pa7NpV40M/TI1IUWgVcWI/AAAAAAAACAI/JVLHWaJB6Is/s1600/Eluveitie%2B4.jpgLa soirée est loin d’être finie en effet, les suisses d’Eluveitie se ramènent sur scène, et nous explique clairement qu’il n’y aura pas de troisième partie, à savoir le side-Project mené par les deux icônes féminines du groupe, Godnr Universe. (Sans regrets, c’était facultatif). Après une intro fraîchement cueillie, ils nous livrent un titre de leur dernier album – tout simplement gigantesque – Nil. Puis ils passeront à un registre plus anciens, avec leurs excellents Grey Sublime Archon, Slania’s Song, Bloodstained Ground et l’inévitable Inis Mona (dont le thème est reprit d'un morceau traditonnel qui a été lui même repris par le groupe de Rap breton Manau dans le morceau La Tribu de Dana, et c'est ce pourquoi il est très familier) de l’album Slania. Ainsi que des morceaux de leur premier album Spirit sur Tëgernako et Andro pour clôturer le concert en passant par Your Gaulish War. On retrouve du bon vieux Métal Celtique au death mélodique, légèrement différent de Korpiklaani qui trouvait son côté festif, mais presque aussi bien.
 
Mais ils étaient là avant tout, pour promouvoir leur Everything Remains as it Never Was, qui cachait le mou de leur album acoustique précédent Evocation I - The Arcane of Dominion (juste représenté par un Omnos). La foule était encore plus folle sur la deuxième partie de cette mémorable soirée, et mon dos s’en souviendra à force de slams et d’une montée sur scène plutôt mémorable. Les 8 musiciens sont en forme, en particulier le chanteur Chrigel Glanzmann avec ses tins et son ton assez communiquant avec des annonces du genre The Womans from Nantes are the most beautiful womans in the World ce qu’il a apparemment répété quelques jours après pour les Parisiennes au Trabendo. Et aussi les deux femmes du groupe en forme, avec Anna Murphy, sa fameuse vielle à roue et sa voix agréable.
Après un Thousanfold irréprochable puis un Isara précédant Quote the Raven ultra-efficaces, il est temps de passer aux choses sérieuses.
 Comme la tradition Eluveitienne le préconise, deux gros évènements dans leurs concerts devaient ressurgir. Sur Kingdom Come Undone, un circle-pit s’est réalisé avec succès, même si la sueur du sol a fait tombé plus d’un, dont bibi qui a failli se faire piétiner. Mais le meilleur fut sur (Do)Minion – et c’est sûrement pour ça qu’on a gueulé le nom de la chanson du début jusqu’à la fin du show – avec un Wall of Death/Braveheart mémorable qui a séparé la foule de manière impressionante dans une salle si étroite que l’Olympic puis l’a fait rentrée en collision, [et nous devant..].
Après moults remerciements, le groupe s’en va sous un torrent d’applaudissements et de cris avec la fin de l’album répétant en boucle Everything Remains as it Never Was, As It Never Was, As it Never Was…
Incroyable, aussi sportif qu’une journée au HF, énorme.. il n’y a pas de mots assez forts pour décrire une soirée aussi bonne en compagnie de gens géniaux. HEU-REUX on vous dit !


[Pour les retardataires ;)] Eluveitie - Inis Mona


Set-list d'Eluveitie
1. Intro (OtherWorld)
2. Nil
3. Gray Sublime Archon
4. Bloodstained Ground
5. Your Gaulish War
6. Thousanfold
7. Inis Mona
8. Slania's Song
9. Omnos
10. Isara
11. Quote the Raven
12. Kingdom Come Undone
13. (Do)minion
14. Andro
15. Tegernako
16. Outro
 
Pour terminer avec cette soirée, voici deux vidéos sur le concert d'Eluveitie d'une personne placée sur le balcon assis donc pas en train de se faire piétiner. La première est le Circle Pit sur Kingdom et la deuxième le Wall of Death/Braveheart où on nous voit clairement, sur (Do)Minion. Déconseillé pour les âmes sensibles.





Mercredi 11 août 2010 à 17:29

http://10000visions.cowblog.fr/images/Lives/PattiSmithheracousticband.jpgPATTI SMITH & HER ACOUSTIC BAND
Le 1er Août 2010-08-10
Piazza San Marco (Venise)
Durée : 1h 30
Patti Smith : Chant & Guitare
Lenny Kaye : Guitare
Jay Dee Daugherty : Batterie
Tony Shananan : Basse
et une claviériste dont je ne connais pas le nom





Je vais pas faire mon routard 2010, mais en arrivant à mon premier jour sur trois de vacances à Venise, j’aperçois avec étonnement un marchandising destiné à Patti Smith (dont les bénéfices sont destinés à l’association « Emergency », je me suis donc acheté un T-Shirt de la tournée signé main par Patti). Et je vois ça :
http://userserve-ak.last.fm/serve/_/48230961/Patti+Smith+per+Emergency+pattismith.jpg

Je rêve ?

« We Shall Live Again » Venise 1er Août.

Patti Smith et son groupe acoustique (un guitariste électro-acoustique, un bassiste, une claviériste & un batteur) donnent un concert en plein air sur la piazza San Marco le jour de mon arrivée. Si c’est pas une surprise… Après avoir pris mes billets, je me dirige vers la scène avec les musiciens qui répétaient déjà. Puis arrive Patti pour chanter un morceau, salue ses fans et les prend en photo.

Le spectacle était un concert bénévole dont l’argent des places est donné à l’association Emergency. Pour introduire le concert, 5 ritals bien engagés sont arrivés pour expliquer en quoi consistait cette association intéressante, et quelles causes elles défendaient. J’ai un italien aussi pauvre qu’un album de Pascal Au bistro donc j’ai eu un peu de mal à comprendre leurs discours. Mais en gros, ils collectaient de l’argent pour construire des hôpitaux gratuits dans les Pays et villes en difficulté, notamment ceux vivant dans des guerres civiles. (et ça c’est bien chouette)

Après 10 minutes de présentation, arrive Patti Smith (habillée comme à la répétition…). Et quelle pêche ! J’étais plutôt loin de la scène, assis (ce qui n’est pas génial) mais peu à peu, les gens ont commencé à se lever et à se mettre sur les côtés pour se rapprocher et voir de plus près Patti. C’est vers le 5e morceau (Ghost Dance), que Patti, accroupie, fit signe au public de se rapprocher. Une cinquantaine de personnes court pour remplir la fosse séparant la scène du rang VIP. Et j’en faisais parti, je me suis retrouvé propulsé debout au 1er rang, à 3 mètres de Patti. [Je note que les gens - qui ont payé 90 € pour se mettre au 1er rang : et qu’ils voient des types dont la place a coûté 20 € se mettre encore plus près de Patti et leur cachant la vue – ont particulièrement gueulé]. C’était donc assez impressionnant sur les bords.

Accompagnée de sa bande (avec un guitariste - Lenny Kaye du Patti Smith Group des années 70 myspace
ici
- qui avait une grande classe, et que j’ai rencontré le lendemain à un restaurant et avec qui j’ai un peu discuté ; un bassiste du même style ; un batteur en costume blanc plus détendu que jamais et une claviériste introvertie), Patti délivre ses classiques de l’album Horses (Redondo Beach, Free Money…), de l’album Wave (Frederick qui démarre le concert) ou encore My Blakean Years (de Trampin’). Les rappels se centreront sur ses deux tubes : la reprise de Gloria de Van Morrisson et People have the Power. Au-delà de ça, elle reprendra Plays with Fire des Rolling Stones et rendra hommage à toutes les mères du monde entier et le poète Jim Carroll (décédé depuis un an jour pour jour). Une improvisation/lecture de poèmes sur Marco Polo. Etant très croyante, elle a surtout rendu un hommage au pape Jean-Paul 1er  avec un poème écrit de sa main, patriarche de Venise qui n’a tenu son rôle de pape que 33 Jours, humaniste et qui défendait des causes impressionnante.
Si je devais résumer ce concert en quelques mots, ça peut donner : Une ambiance dans le public à la hauteur de l’énergie impressionnante déployée sur scène, par sa légende encore vivante et ses musiciens.

"Jesus Died for somebody Sins but not Mine"

Set-list de Patti Smith

1. Frederick
2. Redondo Beach
3. Free Money
4. Plays with Fire
5. Ghost Dance
6. Mother Rose
7. Jim Caroll (Beaning the Southern Cross)
8. Marco Polo
9. Improvisation/My blakean years
10. Dancing Bare Foot
11. Jean-Paul 1st
12. True Music Wave
13. Pissing in a River
14. Because the Night
15. Gloria
16. Wing
17. People have the Power


Vendredi 4 juin 2010 à 22:53

http://10000visions.cowblog.fr/images/Lives/Pixies.jpgPixies
Le 2 Juin 2010
Au Zénith Métropole de Nantes
Durée :
2h 30
1ere partie :
Bombay Bicycle Club
Membres :
Black Françis, Joey Santiago, Kim Deal & David Lovering.

C’était sensé être leur unique date en France (hormis deux soirées à Toulouse), et il se trouve que ça s’est passé chez Bibi ! Et oui, ce mercredi soir, j’ai eu la chance d’aller voir avec mon grand frère et un grand ami a nous deux - dont je vous ai déjà parlé si vous lisez bien les articles - à savoir Louis, les Pixies dans leur formation originale.

A l’époque où mon père s’était permis de m’offrir deux places, je faisais partie de la tribu des Where is my Mind (étant donné que je suis fan de Fight Club, on ne peut pas faire l’impasse sur ce classique). Mais peu à peu, j’ai découvert la carrière du groupe de Franck/Françis/Frankie/Black. Et je suis devenu particulièrement fan des Pixies, me rendant compte que tout ne reposait pas sur leur chanson la plus connue (comme certains le diraient, d’ailleurs si quelqu’un résume le concert auquel j’ai assisté, en chantant ironiquement les paroles du morceau, on règle ça derrière une poubelle), et qu’a côté de tous les supers morceaux des Pixies (et également albums), Where is my Mind puait un peu, même si c’est une jolie chanson.

[Ma Vie, Mon œuvre] Après être arrivé aux alentours de 18 h (pas vraiment de monde, une cinquantaine de personnes), et me pose avec mes deux compagnons devant la scène du zénith de Nantes. Une bonne occasion pour discuter, admirer la belle salle presque vide et boire un coup. Seulement voilà il est 20 h, et la première partie fait face au concert : Bombay Bicycle Club.

http://www.cavacool.com/files/bombaybicycleclub.jpg
Bombay Bicycle Club, un groupe plutôt prometteur.
(pour le myspace cliquer sur la photo)
 
Même si les membres du groupe ne se sont pas pété les burnes pour ce qui est du jeu de scène, ils ont quand même fait preuve d’une superbe interpétation de leurs pièces, alliant Rock Progressif à Post Rock. Une sorte de mélange fascinant entre Interpol et God Is an Astronaut. Le public ne bougeait pas, mais étant dans la fosse, j’ai pu voir des mouvements de têtes, traduisant le bon accueil du public envers les jeunes du groupe. Donc ok pour la 1ere partie, qui aura duré 45 minutes.

Il est 21h 15/20, après une demi-heure de test son (d’ailleurs un mec habillé en plombier, qui jouait de la guitare tel un artiste incompris, mais qui faisait en fait les balances, nous a fait tapé une bonne barre !), les Pixies arrivent.
Et ils sont beaux les Pixies, malgré les kilos en trop de Black Françis, de sa tendance à garder les yeux fermés pour se concentrer sur sa voix (qui n’a pas perdu son charme) et son jeu de guitare. Et les trois autres musiciens ! Kim Deal avec sa basse et sa superbe voix officiant dans quelques morceaux, Joey Santiago et son jeu fluide de guitare ainsi que David Lovering  qui n’en fait pas des tonnes à la batterie (car la musique des Pixies n’est pas très connu pour sa batterie, plutôt simplette) enfin ce qu’il doit jouer, il le joue très bien au moins.

Il est sûr que les Pixies ne sont pas des bêtes de scène, ils se trémoussent parfois mais ils font surtout preuve d’une grande expérience musicale. L’ambiance a été mise aussi en partie par le public. Et je suis bien placé pour le savoir, mes chers, dans tous les sens du terme ! j’étais à 20 mètres de Black Françis au début du concert, et a la fin je me suis retrouvé dix mètres plus loin faute de pogos et d’allumés. Enfin ça c’est pas un problême ! J’adore faire des pogos, même si j’aurais pu perdre un bras. Le concert pouvait être violent, surtout si on part de la 3e chanson, mais bon je vais au Hellfest de 2010 donc on va pas chipoter.
Le public n’était constitué que de personnes de 30 et 40 ans, ou des femmes de entre 20 et 30, ex-fans/groupies du chanteur. Certaines se sont d’ailleurs permises de l’insulter en anglais, sous prétexte qu’il bougeait pas assez et que c’était un gros tas. Enfin personne n’est parfait, et elles devaient être à leur 6e bédo et leur 15e bière, donc on les pardonne.
C’était donc bon enfant, j’ai rencontré des mecs torses nus plutôts chaleureux et un type qui écoutait les Pixies depuis 17 ans et qui n’avait jamais vu un de leur concert.

Sur le répertoire, les Pixies ont joué une vingtaine de morceaux relativement courts, qui constituent une durée de 1h 45 de concert. J’ai pas tout retenu hein ! Mais ils ont joué du Doolitle : Debaser, Monkey Gone to Heaven, Tame et
Wave of Mutilation (où j’ai pris cher), Here comes your man (pour terminer le concert) et surtout Hey, qui est de loin mon morceau préfèré des Pixies. Mais je vais pas m’étendre sur le sujet, car je compte faire un chronique de l’album justement. Sur Surfer Rosa, ils ont joué Bone Machine et l’inévitable Where is my Mind. Ainsi que que quelques morceaux de Trompe tout le Monde et Bossanova. On peut noter quelques superbes interprétations du Western Cecilia Ann et de leur reprise favorite de Neil Young.

Enfin voilà pour la playlist, dont je ne dirais pas plus sous peine de donner des indications floues. Mais juste pour dire, qu’elle fut très bien choisie, même si je regrettais un peu l’absence de Lala Love you.

Ce qui fait plaisir, c'est de voir Kim Deal sourire à Black Françis en sachant qu'il y a même pas 6 mois, ils se disaient du mal mutuellement dans leur dos dans les interviews de magazine. Mais là ils se sont reformés comme ils l'ont fait en 2004 trois ans durant, et ce fut très beau à voir.

Voili voilou pour les Pixies. Vraiment très belle soirée, avec des gens qui ne se prennent pas la tête. Vraiment excellent, très bonne ambiance, très bonne musique. Les Pixies sont incroyables et m'ont offert un concert unique que je n'oublierais surement pas même si le comportement sur scène des Lutins est un peu à revoir...

Setlist des Pixies :

1. Cecilia Ann
2. Rock Music
3. Bone Machine
4. Monkey gone to Heaven
5. Gouge Away
6. Hey
7. Velouria
8. Dig of Fire
9. Allison
10. Debaser
11. Planet of Sound
12. Winterlong (Neil Young Cover)
13. Alec Eiffel
14. Caribou
15. River Euphrates
16. Cactus
17. Is she Weird
18. Break my Body
19. The Sad Punk
20. Head On (The Jesus and Mary Chain Cover)
21. Wave of Mutilation
22. Tame
23. Isla de Encanta
24. Broken Face
25. Nimrod's Son
26. Gigantic
   Rappels
27. Where is My Mind
28. Here Comes your Man



Lundi 24 mai 2010 à 19:11

http://c2.ac-images.myspacecdn.com/images02/47/l_3b8eb20e23f54f5cbfb03022ec1a672d.jpgSpirit of Moondog (Rétrospective Moondog)
Le Samedi 22 Juin 2010
Au Château des Ducs de Bretagne
Durée : 2 heures
-->Ouverture par les élèves du Conservatoire de Nantes accompagnés par Stefan Lakatos.
Evènement organisé par l'association Mukhayyar dans le cadre "Musique au Château"

Stefan Lakatos - Trimba et Percussions
Dietmar Schmahl - Saxophone Ténor
Güner Menger - Saxophone Alto, Didgeridoo & Shruti-Box
Jünder Bebenroth - Saxophone Soprano & Clarinette
Norbert Geis - Saxophone Alto & Flûte
Andreas Lensing
- Saxophone Baryton & Clarinette Basse
Thomas König - Saxophone Basse

Par Brieuc & Guillaume
Je vais être très bref. Pour terminer mon cycle de trois articles sur l'artiste Louis Thomas Hardin allias Moondog, voici une rapide chronique du concert joué par le groupe Spirit of Moondog au sein du château des Ducs de Bretagne.

Evidemment, nous devons remercier Amaury et ses deux copains (Antoine est très chouette d'ailleurs). Ils ont pris la peine, dans le cadre de leurs études en communication, de faire venir le disciple de Moondog : Stefan Lakatos. Lakatos possède la Trimba unique de Moondog (sur la photo, à côté du bonhomme en rouge) mais a surtout bénificié de ses conseils et de son éducation, faisant de lui, l'héritier du barbu à cornes. Mais quand un Cornut à Barbes le fait venir, c'est là que ça devient interessant. Lui et ses 6 musiciens (tous aussi bons, en particulier Güner, qui a su assurer comme un Dieu au didgeridoo) ont réussi va faire revivre l'esprit de Moodog au sein de notre beau château. En plus de ça, c'est ouvert par quelques musiciens du conservatoire, qui ont plutôt bien jouer (en sachant que la musique de Moondog est très difficile à jouer) avec Stefan. Trois morceaux certes (dont le premier qui flottait un peu), mais Bird's Lament fut extremement bien jouée.

C'est ensuite qu'arrivent les membres du groupe de Stefan Lakatos. Emsemble, ils joueront une quinzaine de titres de Moondog, parmis eux, l'excellente Dog Trot qui a ouvert et fermé le concert du groupe - c'est là où le didgeridoo fut utilisé - mais aussi Rabbit Hop et Bumbo (enfin bon je tenterais de piquer la set-list à Amaury). Mais en 1er rappel, ils ont surtout offert une adaptation de Lament 1 Bird's Lament avec énormèment de sincèrité et beaucoup de beauté. C'était vraiment magnifique, vraiment. Juste avant ça, ils ont joué un morceau plutôt sympa sur la ville de Paris. En plus de ça, Stefan nous a fait part d'un joli solo de 10 minute sur sa Trimba et nous a expliqué dans un anglais très bien dicté des points sur la vie de Moondog, ainsi que des anecdotes (comme par exemple, l'explication du mot Loneliness par Moondog).

  Etant venu plutôt à l'avance avec Guillaume, pour saluer tout le monde et aider a installer les bidules et autres trucs j'ai eu la chance de rencontrer Stefan Lakatos un type bien chouette et sympathique, lui serrer la main, être pris en photo avec lui grâce à Amaury qui lui a d'ailleurs déclaré que j'étais le plus jeune fan de Moondog.


Enfin pour l'instant voilà la set-list qui devait être jouée :
Dog Trot
Down is Up
Tout Suite
Tell me, tell me
Trimba solo
Elf Dance
Canon
Thor and the Midgard Serpent
Rabbit Hop
intermission
Bumbo
Troikan (Wind River Pow-wow)
Armies Contending
An Owl
Single Foot
See the Tree
Birds Lament
Paris
Encore:
Golden Fleece
Man is the Joy of Man
If the audience are hardcore:
Rainbow Bridge



(Au cas où vous le sauriez pas, Robinet c'est le profil de Guillaume et Cuberisheep c'est le mien)

Mercredi 3 mars 2010 à 13:25

http://10000visions.cowblog.fr/images/PinkFloyd/aussiepinkfloyd.jpgThe Australian Pink Floyd Show
Le 22 Février 2010
Au Forest National (Bruxelles)
Durée : 3 heures
Membres : 10 australiens (1 chanteur, deux guitaristes, un bassiste, un batteur/percussionniste, trois cantatrices, un clavieriste & un saxophoniste).

  Je regrettais déjà de l'avoir manqué, "The Australian Pink Floyd Show". Au moment où il était passé à la cité des Congrès de Nantes (pour leur tournée "The Wall", c'est à dire jouer l'album de 1979 dans son intégralité puis 5 tubes "Wish You Were Here", "Money"...), mais à l'époque je n'étais pas aussi fervent des Pink Floyd, et ce n'était pas mon groupe préféré. Et puis je vois dans une alerte qu'il passent au Forest National de Bruxelles durant les vacances de Février (que je passe généralement dans une maison familiale proche de la frontière belge). Directement et sans hésiter, je prends deux places (je vais le voir avec mon père qui a vécu son enfance, adolecsence et vit sa postérité autour des Pink Floyd).
J'ai ma place, je vais y aller, je suis heureux... Puis ils prévoient de repasser à Nantes, et là je me sens un peu con. Enfin bon, ça m'étonnerait que je n'aille pas les voir deux fois.

Pourquoi? Parce que c'est incroyable, magnifique, il n'y a pas de mots pour le décrire. Ces "Faux" Pink Floyd jouent à la note près chaque morceau, et le show est tellement proche du live "Pulse" qu'offrait David Gilmour à la sortie de "The Division Bell". Ce concert est 10 fois mieux que tout ce que j'ai pu voir depuis ma naissance en matière de Shows.

10 australiens, deux guitaristes, dont un leader et chanteur à mis temps, un chanteur, un bassiste, un batteur, un saxophoniste, un Clavieriste au chapeau et cheveux longs noirs et barbe (faisant légèrement penser à Nick Mason, le batteur des Floyd) et trois magnifiques chanteuses dont une exceptionnelle faisant ses preuves lors de sa partie lyrique sur la magnifique "The Great Gig In The Sky". En plus de ça, un incroyable jeu de lumière accompagné d'un magnifique concept vidéo, reposé sur un écran en forme de disque, de la taille de la scène.
On peut ainsi profiter non seulement de la musique, mais aussi de la mise en scène et en particulier de la résolution de l'écran vidéo, projetant des images, animation et films en rapport avec l'ambiance du morceau.

Le concert commence par une animation avec un kangooroo, qui dort et qui se réveille, il se dirige vers son meuble de vynils, dans sa chambre (ornée de posters "Atom Heart Mother" "A Momentary Lapse of reason") puis prend doucement le 33T de "The Dark Side of the Moon". Tout le public, constitué d'étrangers comme des Néerlandais, britanniques ou Australiens crient "YEEEEAAAHHH"
Et l'action se répétera 3 fois pour les albums "Animals" puis "Wish You Were Here".

Le concert démarre donc par Dark Side, la première face du disque est jouée (en sachant que c'est dans cette face qu'est concentrée le meilleur du concert). A commencer par "Speak To Me" projetée pas à la note près, mais avec en décor des images en animation, un homme enfermé dans une chambre d'Asile, de l'argent, des caisses, des dollars (référence à Money) puis après une minute de bruitages synthésant toutes les thèmes abordés par l'album, le concert démarre sur la magnifique "Breathe In The Air". C'est trop beau pour être vrai, c'est trop vrai pour ne pas être beau. Les voix ont du être modifiées ou quelque chose! C'est à la note près! "Breathe In the Air, Don't Be Affraid To Care", d'entrée de jeu, les Australiens nous propulsent dans le Floyd grâce à leur musique et à leur concept vidéo. Ensuite ils enchaînent sur la "On the Run" projetant un diagramme, puis passant à "Time". Le chef d'oeuvre des Pink Floyd, leur apothéose. Tous ces bruits d'horloge, et cette montée psychédélique jusqu'a la partie vocale. Je ne pouvais pas y croire, et après la reprise de "Breathe", ils passent à "The Great Gig In the Sky". Comme je vous l'expliquai au début de l'article, une des choristes s'est avancée, et nous a fait part de sa voix phénoménale, allant a la note près, a la montée aïgue près de la voix enregistrée sur l'album.
L'apport du saxophone durant cette partie fut vraiment intéressante, car le saxophoniste alto avait un talent inouï

La face est terminée, le kangooroo se relève et sort "Wish You Were Here". C'est là où le public était le plus enthousiaste, de loin. En commençant par la fabuleuse chanson prog avec les 5 premières parties de "Shine On You Crazy Diamond". C'est bien là qu'on pouvait planer, avec cette montée Progressive qu'on espère éternelle, jusqu'au "Shine On You Crazy Diamond" chanté en choeur et de tout coeur par les Australiens.
Mais c'est après ces 13 minutes de Rock Progressif intensif, que se joua le morceau où le concept vidéo y était le plus original. Je pense à "Welcome To The Machine" morceau avec lequel j'ai pu me réconcilier, car je ne l'appréciais pas tellement avant ce concert. Les images étaient inquiètantes, montraient le système d'une machine, qui est plus précisèment un robot. Toujours en animation évidemment

La face se termine, le Kangoroo se dirige vers son meuble à vynils, et prend pour terminer la première partie du concert, "Animals"
Même si il est l'album le moins acclamé durant le concert, ce fut tout de même magnifique. Avec d'abord "Pigs on the Wing (Part One)" une courte chanson oscillant progressive et Folk à la sauce Pink Floyd. Puis enchaînant sur l'exceptionnelle "Dogs", morceau de 17 minutes. Sa justesse se caractèrisant par ses échos dans les voix modifiées au Talk Talk

Et c'est après ces deux magnifiques morceaux, qu'il est marqué "INTERMISSION". Le moment d'aller boire une bière et de faire une pause d'une demi-heure pour se remettre de cette première partie plus que magnifique. Si le concert s'arrêtait là, je serais déjà satisfait, mais ce n'est pas fini!

C
'est dans la deuxième partie que tout sera sureprenant. Notre fameux protagoniste ne se lève pas pour poser le dimant de sa platine sur l'album "The Wall" comme je l'avais imaginé. Mais non, il met des écouteurs et démarre une cassette.
Etonnant! L'Australian démarre cette deuxième partie par "Astronomy Domine" extraite de leur premier album "The Piper At The Gates Of Dawn" non enregistré avec David Gilmour mais Syd Barett.

C'était le premier morceau publié des Pink Floyd et bizarrement, l'Australian enchaîne sur la sensationnelle "High Hopes", le dernier morceau publié par les Pink Floyd. Dans l'album "The Division Bell", qui est mauvais par moments, mais des morceaux comme celui-ci ne s'oublient pas. Cette magnifique intro avec cloches et ces trois accords de piano. Et cette voix de David Gilmour chantant "Beyond the Horizons of the Place we Lives and we Were Young...". Et le concept vidéo était le même que celui que David Gilmour projetait dans son live Pulse. Emouvant, qui met mal à l'aise. J'avais la soudaine envie de chialer, mais je ne l'ai pas fait (je suis un homme, moi!)

Toujours dans "The Division Bell", "Take It Back" fut jouée. Un peu intrue dans ce live, mais bon que voulez vous...

Puis étonnemment, ils reviennent au début de la carrière du Floyd et nous offrent "Set the Controls For the Heart of the Sun" paru sur deux cultes de la période Progressive/Psychédélique de la fin des années 60, début des années 70 des Pink Floyd a savoir "Umagumma"  (dans une version plus longue de 9 minutes) et "A Saurceful Of Secrets". La projection vidéo, psychédélique évidemment, animant notre Kangoroo dans un paysage Egyptien avec Pyramides et tout le tralala.

Encore dans la période terminale des Pink Floyd, "Learning To Fly" parue dans l'album "A Momentary Lapse Of Reason" illustrant le nouveau Pink Floyd, celui reformé par David Gilmour. L'album est dans son emsemble mauvais, mais certains morceaux comme "Dogs of War" ou celles ci sont assez belles, surtout en live.

Puis ils reprennent des morceaux des albums qu'ils ont joués au début du concert : "Us And Them" de l'album "The Dark Side of the Moon", qui est un morceau que j'apprécie pas énormèment. Mais il est plaisant, et sa vidéo montrant des gens marcher dans la rue était agréable. Un bon petit moment qui m'a encore réconcilié avec un morceau des Floyd.
Et ensuite, LE morceau, celui qu'ils ne pouvaient pas éviter "Wish You Were Here" où toutes les femmes belges de la salle se sont mises à chanter les paroles. Le début fut quelque peu changer, car le changement des stations de radio fut plus long et plus hilarant. Vraiment magnifique, exceptionnel. Notre Kangoroo se retrouvait cette fois ci dans un désert, rencontrant l'homme au disque, qu'on peut trouver sur l'image à l'intérieur de l'album. Puis on pouvait voir des images de Syd Barrett et des membres des Pink Floyd réunis emsemble. Après tout, le morceau est un hommage à Syd Barrett
C'est là où j'ai compris que le concert soutenait le fait que Barrett a beaucoup apporté aux Pink Floyd, et que Roger Waters a eu tort de le foutre dehors.

RRRAAAAHHHH, qu'est ce que ça fout là! "The Final Cut" de Roger Waters, un morceau de l'album au titre éponyme, qui rendait hommage à son père. Autrement dit, l'album qui a séparé les Pink Floyd où Roger Waters a montré encore une fois son égoïsme en s'attribuant le succès à lui tout seul. Je ne suis pas contre le fait qu'ils la jouent, mais le morceau est une large copie de "The Wall".

Et là, et là
"One Of These Days" fait face, directement extraite de l'album "Meddle". Qui est mon album préféré des Pink Floyd, et cette chanson en est une de mes préférées. Pendant que la basse transportait le morceau, des yeux rouges apparaîssaient a côté de la scène. Et dès que le "One Of These Days, I'm Going Cut you into little pieces" modifié au vocorder. C'EST LA, qu'appaaît un géant Phacochère gonflable qui fait trois fois la taille de la scène, et qui bouge et va et vient dans le public. Ses yeux rouges illuminent la salle. Et il se trouve que c'est le même que la tournée Pulse de David Gilmour. Tout simplement incroyable.

Evidemment, le récent classique pas très visité c'est "The Wall". Alors pour terminer le concert, l'Australian Pink Floyd Show enchaînera les 4 meilleurs morceaux de "The Wall". A commencer par "The Happiest Day Of Our Lives" 
qui démarra, par une lumière venant du plafond et éclairant le public comme un hélicoptère, car rappelez vous, le morceau démarre par des bruits d'hélicoptère
C'est surêment à ce moment là que tout s'est joué, le concept vidéo transformait en animation le film "The Wall" (c'est à dire les enfants avançant dans un système escalator les menant à de la chair à paté). Puis passant à "Another Brick In The Wall Part II" où le Public chanta en refrain "We Don't Need No Education".

Le magnifique est arrivé, la sensationnelle "Comfortably Numb" où le chanteur est arrivé en médecin avec un stétoscope. Et le guitariste nous fait part de ses deux solos, dont celui finissant le morceau, qui est indécrivable tellement sa puissance (que ce soit dans les aïgus ou les graves) nous fait pleurer et nous fait penser au film encore plus émouvant que le morceau.
Et pour terminer ce concert impeccable, les Aussies nous jouent "Run Like Hell" où ils se sopnt arrêtés en plein morceau pour énerver le public, pendant 30 secondes. Et c'est là que le chanteur arrive habillé en nazi et nous répète le discours faciste de "The Wall". Un peu ambigü lorsqu'il demande s'ils y a des Juifs, des nègres ou des Gays dans la salle. Mais bon, ça restait dans l'esprit

Sur cette note, le concert se termine par "That's End Folk" sur l'écran comme dans les cartoons australiens. Le public est époustouflé et redemande l'australian qui se fit rappeler a maintes reprises. "Thank You and See You Soon!"

"See You Soon" qu'ils disent... Et bien ça m'étonnerait pas que j'aille les revoir. Si leur prochain concert à Nantes n'était pas la veille de mon Brevet Blanc, je serais bien allé les revoir un mois après.

J'ai passé les trois meilleures heures musicales de ma vie. Ces Australiens ont réussis à faire ressentir la puissance de la musique des Pink Floyd dans toute la salle. Ce live était une sorte de subitil mélange entre le Live at Pompéï, Delicate Sound of Thunder et Pulse. Surtout avec ces lasers verts qui transpersaient la salle en nous aveuglant. Et puis ce Jeu de lumière, ce concept vidéo, cette mise en scène, ces musiciens et chanteurs/chanteuses tous aussi bons les uns que les autres, cette playlist alliant Psychédélique et Progressif, partant du tout début et arrivant à la réelle fin de mon groupe préféré tout en reprenant les classiques, variée et accesible à tous les inconditionnels.

Le Public était varié aussi, soit des simples fans chantant sur "Wish You Were Here" ou sur "Another Brick In the Wall", des gros fans connaissant tous les moceaux par coeurs. Ou ceux à fond sur Roger Waters, comme le gros australien devant moi, chantant que sur ceux écrits par Waters, et portant un T-Shirt "Roger Waters Tour 2008"

Manque peut-être un "Echoes", un ptit commercial "Money" et puis surtout des morceaux de l'album d'"Atom Heart Mother" et de "Obscured by Clouds. Mais qui sait, ils doivent préparer un nouveau live concentré dans la fin des années 1960/début des années 1970 avec Atom Heart Mother/Umagumma/Meddle/Obscured by Clouds, du moins je l'espere.

L'anthologie des Pink Floyd par Excellence. Inoubliable...


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Voici une vidéo expliquant parfaitement bien ce que je vous ai raconté, quand ils ont joués "Time" avec le concept vidéo, les lasers verts... ect même si leur prestation dans cette vidéo est moins bonne que ce que j'ai vu de mes yeux.
Allez voir le concert, vous ne le regretterez pas.




























Voici quelques liens avec des morceaux différents qu'ont joués l'Australian au Forest National, donc ceux auquels j'ai assisté

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Comfortably Numb
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The Happiest Day Of Our Lives/Another Brick in the Wall

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The Great Gig In the Sky
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Wish You Were Here
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Breathe In the Air


Bonne découvertes!


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